dimanche 18 décembre 2011

La Générosité expérimentée par Dominique disciple de Jésus

Lorsqu'on veut évoquer la générosité, l'image qu'on s'en fait dans notre esprit est la suivante : celle de quelqu'un qui fait un don matériel ou financier généralement important. On parle ainsi de don généreux pour certaines associations humanitaires ou pour des occasions exceptionnelles : la Croix Rouge, le Téléthon, la Ligue contre le Cancer, des manifestations sportives, etc.

Or, bien que cette réalité-là figure au premier plan, je voudrais, en tant que disciple de Jésus, faire part d'une réalité à laquelle j'ai été conduit à réfléchir.

Tout le monde connaît cet exemple de la pauvre veuve qui, au temps de Jésus sur cette terre, avait donné tout ce qu'elle possédait : en comparaison de ceux qui avaient apporté beaucoup comme offrande, cela représentait peu, mais au regard de Dieu, cela était beaucoup, sachant qu'elle avait donné ce qui lui était nécessaire, tandis que les autres avaient donné de leur superflu.

Mais un autre point retient, par contre, mon attention : la générosité n'est pas là pour se limiter au plan financier ou matériel.

On peut, en effet, se montrer généreux dans telle ou telle circonstance où l'on révèle un caractère largement ouvert à l'autre, se montrer capable d'être disponible au-delà d'un certain temps nécessaire (cela s'appelle être généreux en donnant de notre temps). Est-ce toujours facile de faire cela ? Pour être sincère et franc, je vous dirai que non. C'est toujours difficile, en effet, lorsqu'on est pris dans un engrenage de diverses activités dans une













journée ou, tout simplement, parce que la pensée peut quelquefois (voire même souvent) nous masquer certaines priorités au détriment d'autres réalités. Il peut se produire ainsi que, en voulant par exemple rédiger tel courrier ou telle affaire personnelle face à des éléments extérieurs (courrier auprès de quelqu'un, déplacement pour telle course personnelle, régler certaines formalités administratives, etc.), on soit subtilement conduit à involontairement négliger dans une occasion un service ou une attention particulière auprès de quelqu'un.

C'est ainsi que l'on est amené parfois à « se recadrer », mieux se situer face à ce qui est prioritaire. C'est ce qui me conduit souvent, sachant que je ne suis pas exempt de ce genre de difficulté, à me remettre entre les mains de Celui qui permet d'être éclairé dans la compréhension de toutes ces choses.

Pour terminer, je vais vous raconter une anecdote sur quelque chose que j'ai expérimenté.

Il y a quelque temps en arrière, j'avais cette habitude d'aider pour une activité communautaire. J'étais en train d'aider un de mes amis disciple comme moi, dans un travail de réparation (électrique ou autre, je ne sais plus). Je n'avais pas d'expérience au sujet de ce qui était le travail à effectuer comme mon ami l'avait. Mais j'avais néanmoins à cœur d'apporter une contribution, si minime soit-elle dans ce travail, ne fût-ce qu'apporter tels outils nécessaires, ranger ou balayer l'endroit où l'on était par exemple. Tout en faisant cela, je me mettais à parler de manière détendue et décontractée au sujet de choses et d'autres. On pourrait se demander si cela ne risquait pas d'être perturbateur, compte tenu du travail à exécuter. Eh bien non, il n'en était rien. Savez-vous pourquoi ?









Parce que l'ambiance entre nous qui arrivait à se créer était telle que le degré de disponibilité que j'offrais, si minime soit-il, représentait en réalité quelque chose qui se révélait important. En travaillant ainsi en parfaite compréhension l'un de l'autre, il était possible de voir se révéler ce constat : avec peu de choses, arriver dans cette situation à faire preuve de générosité, autant que lorsqu'on a plus en soi au niveau capacité. Celui avec qui je me trouvais arrivait, par ma manière d'être un stimulant pour lui, à être aussi efficacement aidé que si j'avais eu plus de moyens.

Encore un motif pour moi de remercier Mon Dieu Créateur qui m'a éclairé dans cette compréhension.

dimanche 13 novembre 2011

Le Respect




LE RESPECT EXPERIMENTE PAR DOMINIQUE, DISCIPLE DE JESUS


Qu'évoque, en général, pour quelqu'un le respect ?

Bien qu'il ait de multiples significations, comme par exemple la soumission à certaines règles ou lois telles que celles du code de la route, la considérations de choses diverses, le respect évoque toujours en premier lieu l'idée d'une manière de faire preuve de politesse envers autrui.

Ainsi, on cède la place dans les transports en commun à une personne âgée, on se comporte le plus courtoisement possible devant quelqu'un qu'on rencontre dans telle ou telle circonstance, etc.

Il y a cependant pour ma vie de disciple un point particulier qui retient mon attention.

Je me souviens très clairement, dans les débuts de ma nouvelle vie, que mes rencontres avec les uns, avec les autres (disciples comme moi) restaient empreintes de manque de maîtrise dans ce que je cherchais toujours à donner ou à exprimer. Bien sûr, il pouvait être facile de mettre cela sur le compte non pas d'une certaine légèreté dans mes rapports (ni moi ni ceux que je connais n'ont jamais cherché quoi que ce soit dans ce sens) mais d'une manière qui révélait que je vivais dans une certaine méconnaissance. Parce qu'il y avait une certaine spontanéité pour exprimer par exemple de la joie dans telle ou telle situation, il pouvait ainsi m'arriver , quand je parlais ou exprimait un geste quelconque, de m'apercevoir qu'ensuite, ce n'était pas le résultat de quelque chose de bien perçu qui se produisait mais au contraire apportait une sorte de gêne.









Prenons à ce sujet une anecdote précise. J'étais un jour en train de m'activer dans un service comme débarrasser la table pour ceux qui allaient s'occuper de faire la vaisselle. D'humeur joyeuse, je surprend deux personnes de la communauté où je suis s'entretenir d'un sujet banal ( dont je ne me rappelle plus la teneur), et voilà que je me mets à intervenir à ma façon, pensant détendre l'atmosphère. Piquée au vif, l'une des personnes m'a aussitôt répondu : « Est-ce qu'on t'a demandé quelque chose à toi ? Ce n'est pas possible, tout de même ! » Mon humeur a aussitôt été refroidie et il m'a bien fallu plusieurs heures pour me reprendre. Mais, en méditant avec l'aide du savoir-vivre selon la Bible, je me suis rendu compte plus tard que, au lieu de vouloir détendre une atmosphère, c'était en fait un manque de respect qui a donc été perçu. Certes, mon entourage a toujours compris que je ne voulais rien de mal, mais j'ai dû de plus en plus être amené à savoir comment réfréner un comportement dans certaines situations. Il est bien, en effet, d'être expansif, spontané, car notre joie de vivre est là pour nous conduire à cela. Mais il y a des choses qui doivent être le mieux comprises par respect pour autrui, afin que rien ne vienne entraver le bon fonctionnement au niveau relationnel.

En outre, s'intéresser à ce qu'est la personne doit toujours nous permettre de savoir comment nous l'abordons, comment nous pouvons l'accueillir. Tout cela, j'ai dû me rendre compte que c'est un code vital de respect qui, avec l'aide de Celui qui nous assiste en toutes choses, est devenu possible.

dimanche 30 octobre 2011

LE COURAGE

On évoque souvent le courage, comme en parle mon ami Dominique, lors d’actes de bravoure, d’héroïsme.
Pourtant chaque jour nous avons besoin de courage !... Courage pour se lever chaque matin, aller au travail, refaire sans cesse les mêmes choses…
Certains jours tout va bien, on se sent en forme, aucun nuage à l’horizon… la journée démarre bien.
D’autres jours le ciel est gris, on est moins vaillant mais on doit aller quand même à ses occupations.
 Et bien dans ces moments-là on peut aussi parler de courage : cette disposition à mettre de l’ardeur, de l’énergie dans les petites choses du quotidien, quand on n’en a pas envie !
Nous pouvons trouver alors en nous même ce courage, cette énergie car bien des motivations (morales, financières etc…) nous stimulent à accomplir nos devoirs.
Pour ma part je puise le courage, l’énergie pour vivre chacune de mes journées en consacrant dès le matin un moment à la méditation et la prière.
Tourner chaque jour mes pensées vers Celui qui m’a créé, renouvelle en moi l’énergie et communique à mon être la force pour aborder ma journée.
« Fais-moi dès le matin entendre Ta bonté !... Car je me confie en Toi. Fais-moi connaitre le chemin ou je dois marcher ! Car j’élève à Toi mon âme.
Enseigne-moi à faire Ta volonté ! Car Tu es mon Dieu. Que ton bon Esprit me conduise sur la voie droite »        Psaume 143/8…10.

Marie-Claire, disciple de Jésus.

On le sait le monde change sans cesse et de plus en plus vite mais au fond, secrètement les besoins restent toujours les mêmes : aimer, être aimé, se sentir utile, connaitre le bonheur, être en paix, vivre en harmonie…
Tu te demandes peut-être :
-          Disciple de Jésus au XXI siècle qu’est ce que cela signifie ?
-          Est-ce pour moi ?
-          Est-ce que cela va m’aider ?
-          Est-ce encore possible ?
-          Est-ce raisonnable ?
-          Est-ce une nouvelle religion ?
Depuis 25 ans je partage avec plusieurs amis une vie communautaire basée sur les Ecritures. Nous avons décidé en obéissance à la bible de tout mettre en commun, sans avoir aucune appartenance religieuse. Après toutes ces années écoulées, je peux donc dire qu’être disciple de Jésus-Christ au XXI siècle correspond à mes attentes et même bien au-delà. Dieu Lui-même déclare : «Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, même celui qui n’a pas d’argent ! Venez, achetez et mangez, venez achetez du vin et du lait sans argent, sans rien payer ! Pourquoi pesez-vous de l’argent pour ce qui ne nourrit pas ? Pourquoi travaillez-vous pour ce qui ne rassasie pas ? Ecoutez-moi donc, et vous mangerez ce qui est bon, et votre âme se délectera de mets succulents. Prêtez l’oreille, et venez à moi, écoutez, et votre âme vivra… Esaïe 55/1-2-3
La bible n’est pas seulement un livre d’histoires, de poèmes, de règles, de prophéties, de sagesse… C’est aussi un livre où sont cachés volontairement la connaissance, la justice de Dieu et ses mystères.
Cela est réservé et révélé personnellement et uniquement à tous ceux qui sont appelés et élus, c’est une grâce de Dieu.
La lecture de la Bible apprend à tendre l’oreille, à écouter et à recevoir les instructions nécessaires pour bénéficier de ces mets succulents qui apaisent, réconfortent, l’être tout entier.
Toute discipline sportive, artistique comportent des règles. Pour expérimenter les promesses de Dieu faites à l’être humain, il est nécessaire aussi de respecter certaines règles.
S’exercer à cette discipline est une source d’enrichissement intarissable pour savoir comment être au milieu de ce monde tourmenté, instable dans lequel nous vivons.
Comme moi, vous voulez peut-être expérimenter cette grâce, ce cadeau Divin ?

 Cela en menant une vie de famille harmonieuse, une vie professionnelle réussite,  et cherche en me disciplinant à pratiquer les enseignements, les conseils écrits dans ce livre.

mardi 20 septembre 2011

LE COURAGE EXPERIMENTE PAR DOMINIQUE


Que connaît-on en général du courage ?

      Braver des dangers multiples en voulant sauver une ou plusieurs personnes de la noyade, du feu, etc.

      Vouloir défendre quelqu'un qui est dans une situation grave ( financière, familiale ou autre).

      Vouloir défendre une situation politique ou sociale dans un pays.

      Tels sont des exemples de ce qu'on en perçoit la plupart du temps.

      Pour ma part, je voudrais mettre l'accent sur une autre réalité de ce qu'il est dans ma vie de disciple de Jésus.

      Il y a quelques temps, j'exerçais la profession intéressante de bibliothécaire à la Poste principale du Louvre à Paris. Ce métier, que j'ai exercé durant 35 années, j'ai donc été conduit à le quitter, compte tenu des difficultés qui se sont développées au sein de l'organisme où j'ai travaillé (restructurations de divers services, suppressions d'autres), cela étant le fruit de l'orientation économique actuelle. Grâce, cependant, à un heureux concours de circonstances, j'ai pu trouver le moyen de vivre au côté de tous mes amis (disciples comme moi) une vie entièrement consacrée à eux .

     Quel est donc cet aspect dont tu veux nous faire part ? Me direz-vous.
Simplement le fruit de ce qu'est une vraie vie, plus pleine, plus authentique. Je m'explique. Lorsqu'on se trouve, comme cela était mon cas, occupé à partir tôt le matin, revenir de mon activité tard le soir, avec comme seule possibilité d'être en présence de chacun de mes amis disciples le week-end, il faut, certes, le courage d'assumer tout cela, mais







on ne peut pas dire que le temps pour échanger quelque chose entre nous soit suffisant : on peut passer. de bons moments de retrouvailles mais c'est tout.

     Par contre, à partir du moment où, retiré du monde du travail, on se trouve amené à découvrir une autre vie, c'est une autre chose.

     En effet, connaît-on vraiment ceux au côté desquels on vit tous les jours ? Il suffit de voir une circonstance, une autre, une situation de communication devant untel ou une telle, pour s'apercevoir que les besoins que l'on croyait connaître chez l'un, chez l'autre, eh bien, on en est quelquefois fort loin (ou, en tout cas, on peut être plus ou moins en décalage). Il peut ainsi arriver qu'on soit tenté de se demander si la solution d'avoir voulu quitter le monde économique du travail était vraiment la meilleure ou si, au contraire, on ne se trouverait pas au-devant d'autres difficultés : vais-je être à la hauteur de répondre à tout besoin qui peut être attendu de moi ? Vais-je montrer comment mieux communiquer avec celui-ci ou celle-ci, etc. ?

     C'est ce qui me conduit de plus en plus à mieux réfléchir sur la réalité profonde du sens que je veux donner aujourd'hui à la vie que j'ai à apporter au côté de mes amis. C'est là, en effet, que je me trouve confronté à cette réalité d'avoir à faire preuve de courage, en me rappelant quel engagement j'ai pris lorsque j'ai été conduit à vivre cette vie communautaire au côté de mes amis.

     C'est ce qui fait que, maintenant encore, je place toujours un peu plus une confiance absolue en Celui qui conduit toutes choses à son accomplissement. De cette manière, je puis continuer de contribuer à une vie constructive, tant pour les autres que pour moi-même.

samedi 9 juillet 2011

DOMINIQUE




 CELUI QUI A TRANSFORME MA VIE :
ECRIT PAR DOMINIQUE BOISSET


Etes-vous de ceux qui voulez vraiment changer ? De ceux qui veulent avoir le moyen de s'engager dans quelque chose de constructif pour votre vie ?

Incapable auparavant de vaincre ma réserve, mes incertitudes, tous mes retranchements, j'ai découvert comment le faire. D'introverti que j'étais, je suis devenu plus expansif, grâce à Celui dont je veux vous parler.

Cela vous intéresse-t-il ?

Dans ce cas, je veux vous dévoiler la personne de Jésus-Christ.

Connaît-on vraiment qui est Jésus-Christ  aujourd'hui ?

Je ne parle pas de ce qu'en disent les religions ! Je parle de la personne de Jésus.

Pour définir Son identité, il faut commencer d'abord par définir ce que Dieu a voulu établir pour l'être humain ici-bas.

Au commencement était la Parole. La Parole était avec Dieu. La Parole était Dieu. Rien de ce qui a été fait n'a été fait sans Elle.

Dieu a voulu créer l'homme à Son Image et à Sa Ressemblance. Or... qu'est-il arrivé ? L'homme a, malheureusement chuté à cause du péché.
Qu'est-ce que le péché ? C'est ce qui nous fait manquer le but – c'est à dire l'erreur, l'échec -

Or quel but a toujours voulu Dieu pour l'être humain ? Que celui-ci puisse être en communion avec Lui, et cela n'était plus possible à cause de la chute. Qu'est-il, en effet, arrivé lorsque l'homme a chuté ? Le péché est entré dans le monde et cela explique pourquoi tant de malheurs sévissent depuis ( souffrances de toutes sortes, maux, perversions, corruptions diverses, etc. )

Dieu a bien essayé, en établissant des lois et des ordonnances, de mettre des tas de règles qui définissaient un moyen de vivre ici-bas selon Sa Volonté.









Or, malheureusement, la nature de l'homme, qui est exposée au mal dès sa jeunesse, n'a pas permis que ce moyen puisse fonctionner.

Aussi a-t-Il voulu Lui-Même pourvoir à un sacrifice parfait. Il est donc venu S'établir sur cette terre dans un corps de chair, limité en tout point comme le nôtre, en la personne de Jésus-Christ.

Pendant 33 ans, Il a vécu notre condition humaine en toutes choses, excepté le péché. Il a fait tout le bien qu'Il pouvait faire sans compter, chassant les démons, guérissant les malades, annonçant la Bonne Nouvelle aux pauvres.

Il a été jusqu'à souffrir la croix, méprisant la honte attachée à un tel supplice.

Le châtiment que nous méritions ( donc que je méritais moi aussi ) est tombé sur Lui, et c'est ce qui nous donne la paix.

Il est donc mort à notre place. Par Ses meurtrissures nous sommes guéris. Dès lors, un accès auprès du Père Céleste, une communion avec Lui, est possible.

Mis au tombeau, Il est ressuscité le troisième jour, puis, monté au Ciel, Il S'est assis à la droite du Tout-Puissant. Il a envoyé Son Saint-Esprit comme premier don fait aux croyants.

Ainsi, tous ceux qui veulent regarder à Lui, invoquer Son Nom ( Jésus ), en Le priant sincèrement de tout leur cœur, Lui demandant le pardon de toutes leurs fautes passées et présentes, peuvent compter sur Sa Grâce infinie et recevoir le pardon dans leur cœur.
Il est alors possible de connaître un Amour qui dépasse tout ce que l'on peut connaître ici-bas. C'est ce qui m'a conduit aujourd'hui à vouloir renoncer à mon ancienne vie pour vivre une vie nouvelle à Ses côtés.

Voulez-vous faire de même ? Sachez que cela est aussi possible pour vous, dès maintenant si vous le voulez.




Dominique